C’est l’une des recommandations formulées mercredi dernier à l’issue l’atelier de validation du rapport du 3e cycle sur l’Examen périodique universel.
Pendant deux jours, la situation des droits de l’Homme au Cameroun de 2014 à 2017 a été passée en revue par des administrations publiques, des institutions publiques indépendantes et des organisations de la société civile. L’événement organisé au ministère de la Justice à Yaoundé a permis d’apporter quelques recommandations au rapport du Cameroun pour le 3e cycle de l’Examen périodique universelle, une résolution de l’Organisation des Nations unies pour évaluer les droits de l’Homme dans ses pays membres. Mercredi dernier, la cérémonie de clôture était présidée par Fonkwe Joseph Fongang, Secrétaire général du MINJUSTICE et représentant du ministre d’Etat, garde des Sceaux, Laurent Esso.
A l’endroit de l’Etat, les participants ont proposé d’envisager une réflexion sur le statut des défenseurs des droits de l’Homme au Cameroun, de prendre en compte les contributions de la société civile dans les rapports du gouvernement pour les catégoriser et leur appliquer un régime de protection conséquent. Par ailleurs, ils recommandent la prise en charge systématique des handicapés lors des examens officiels sur l’étendue du territoire national, ainsi que la sensibilisation en faveur de la scolar...
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