Le Conseil national présidé par le ministre Issa Tchiroma Bakary a tenu sa première session ordinaire pour l’exercice 2017, suivie d’une session extraordinaire hier à Yaoundé.
C’est dans la cacophonie que navigue depuis quelques années le secteur de la publicité au Cameroun. Un encadrement légal, sérieux et efficace s’impose donc. C’est ce à quoi s’attèle depuis deux ans le Conseil national de la Publicité. Les efforts entrepris ainsi que les remarques des professionnels ont permis à la tutelle de mieux appréhender les difficultés. Du coup, « la publicité se porte de moins en moins mal, mais pas de mieux en mieux », a souligné Anne-Marie Barla, représentante des agences conseils au Conseil national de la Publicité. Après 22 mois d’inactivité marqués par la disparation de certains membres de la grande famille de la publicité, les membres du Conseil national ont pu se réunir hier à Yaoundé. C’était au cours de leur première session ordinaire pour l’exercice 2017, suivie d’une session extraordinaire, toutes les deux présidées par le ministre de la Communication, Issa Tchiroma Bakary, président dudit conseil.
Au menu des travaux, l’implémentation du cadre légal régissant la loi sur la publicité au Cameroun. Celle-ci s’avère plus que nécessaire dans un contexte où le non-respect de la loi de 2006 est devenu récurrent. Les acteurs de la publicité eux-mêmes (annonceurs, régisseurs et agences publicitaires) étant les premiers à ne pas suivre les normes. Toute chose qui plombe le progrès du secteur. ...
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