La commission en charge notamment du bilinguisme planche depuis hier sur des solutions concrètes.
Trois thèmes cruciaux qui se rejoignent. Trois thèmes qui font la particularité du Cameroun. Trois thèmes déterminants dans le cadre du Grand dialogue national engagé depuis lundi à Yaoundé. La Commission Bilinguisme, diversité culturelle et cohésion sociale n’a pas traîné hier en matinée au Palais des Congrès. Après les présentations d’usage sous la houlette du président Joshua Osih, les membres de l’atelier, près de 70 personnalités, au total, sont entrés dans le vif du sujet. Question de faire l’état des lieux, d’apporter le bon diagnostic pour administrer le meilleur traitement. Le tout dans une ambiance plutôt consensuelle. « Notre commission est la plus complexe, car elle revient sur les notions qui ont conduit notre pays dans la situation actuelle. Il est nécessaire de nous parler calmement et chercher à trouver des solutions », a précisé Joshua Osih. A huis clos toutefois.
On apprendra néanmoins que les débats ont, entre autres, porté sur le poids à accorder aux deux langues officielles que sont l’anglais et le français, selon ce qui est prévu par la Constitution. En clair, affirme un participant, le gouvernement doit s’assurer de l’effectivité du bilinguisme au quotidien.
Dans ce sens, des propositions on...
Cet article complet est réservé aux abonnés
Déjà abonné ? Identifiez-vous >
Accédez en illimité à Cameroon Tribune Digital à partir de 26250 FCFA
Je M'abonne1 minute suffit pour vous abonner à Cameroon Tribune Digital !
- Votre numéro spécial cameroon-tribune en version numérique
- Des encarts
- Des appels d'offres exclusives
- D'avant-première (accès 24h avant la publication)
- Des éditions consultables sur tous supports (smartphone, tablettes, PC)
Commentaires