Santé publique : le ministre dans le Dja-et-Lobo
- Par Alexandra TCHUILEU N.
- 01 nov. 2019 11:33
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Dans le cadre de ses visites inopinées, Malachie Manaouda s’est rendu mercredi dans les hôpitaux de Meyomessala, de Messock et de Sangmélima.
Avec lui, les formations hospitalières finiront par s’y habituer. Malachie Manaouda poursuit ses visites inopinées à travers les hôpitaux du pays. Mercredi, le ministre de la Santé publique a effectué une tournée dans le département du Dja-et-Lobo, accompagné de quelques collaborateurs. Première halte, l’hôpital de district de Meyomessala. Sur place, Malachie Manaouda est accueilli par la surveillante générale, Carine Ndjock, le médecin-chef étant en séminaire hors de la ville. Tout de suite, la dame dresse un état des lieux et des besoins de la formation hospitalière. D’une capacité d’accueil de 20 lits, cet hôpital reçoit en moyenne 10 patients chaque jour. Trois médecins généralistes et trois pharmaciens y sont déployés, en plus d’autres personnels soignants en service. En termes de besoins, en plus des lits et des matelas, le bloc opératoire manque d’équipements de réanimation, d’oxygène. Tout comme le laboratoire. « Les bons points ici à Meyomessala, c’est la propreté. J’ai trouvé le personnel en place et commis à la tâche parce qu’ils sont auprès des malades », a relevé le Minsanté. Au regard des besoins, Malachie Manaouda a instruit ses collaborateurs de faire parvenir dès lundi prochain les premiers équipements.
A l’hôpital de district de Sangmélima, c’était une autre réalité. Deux médecins et 15 aides-soignants pour une fréquentation de 300 à 400 malades par mois. A l’arrivée du ministre, les locaux étaient propres, tous les lits recouverts de draps et le jardin entretenu. En l’absence du directeur également en séminaire hors de la ville, c’est la secrétaire générale, Florine Savom Nyavom, qui a servi de guide. Entre autres chiffres, le rythme de fréquentation de l’unité de prise en charge des personnes vivant avec le Vih/Sida. Près de 1 820 personnes y sont suivies de manière régulière sans compter ceux qui ne reviennent pas après dépistage. Cette formation évalue par ailleurs ses recettes à environ 3,5 millions de F chaque mois et des d...
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