Destruction du mobilier routier : fin de la récréation

La Communauté urbaine de Douala engagée à réduire ce fléau à sa plus simple expression.


Le mobilier routier est fort éprouvé à Douala. Saccages accidentels, actes de vandalisme, incivisme. Des actes et d’autres qui rongent peu à peu ces matériels et accessoires dont l’utilité publique n’est plus à démontrer. Selon les textes en vigueur, la garantie des ouvrages routiers est de deux ans. Dès la fin de cette période, ces ouvrages sont transférés à la Communauté urbaine. En d’autres termes, c’est cette dernière qui doit en assurer l’entretien.
Sur le terrain, cette situation malheureuse perdure depuis des années, sans que des actions de réparation d’envergure soient visibles. Cela dit, la nouvelle équipe dirigeante de la Cud a pris le problème à bras le corps et s’est engagée depuis peu à redorer le blason des routes de la capitale économique.
Sur le sujet, un comité casseur-payeur a été mis sur pied il y a peu. L’instance aura pour mission de faire payer toute facture liée à la destruction d’un mobilier routier par son auteur. Désormais, les automobilistes et citoyens indélicats devront, littéralement, payer les pots cassés suite à leurs actes d’incivisme sur les ouvrages et matériels routiers. A en croire Suzanne Ebwelle, chargée du suivi et de l’implémentation du principe casseur-...

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