Musique : la vision d’Afrobit

Le label créé il y a trois ans monte progressivement et veut s’imposer par des valeurs morales et positives inculquées à ses artistes, et bien sûr de la bonne musique !

Comment donner du neuf dans un univers où tout semble déjà avoir été joué d’avance ? Ce défi, c’est celui de tous les artistes, en perpétuelle quête de l’inédit ou de ce « je-ne-sais-quoi » que l’autre verra en leurs œuvres, et qui servira de passage vers les voix célestes de l’extase. L’art, et la musique dans ce cas précis, a ce don particulier. En créant en 2019 Afrobit Productions, Joseph Mbock et ses collaborateurs matérialisaient leur ambition, celle d’apporter une autre touche à la musique camerounaise. Le siège de ce label situé au quartier Bastos à Yaoundé embrasse la politique de la maison : « Promouvoir la musique camerounaise à un niveau supérieur sur le marché international ».
Deux studios à la pointe des dernières innovations technologiques servent aux enregistrements. Les volets « boîte et label » de production d’Afrobit lui permettent d’avoir en sa possession les moyens de réaliser les vidéo-clips de ses artistes, ainsi qu’une chaîne de télévision éponyme disponible sur le réseau de câblodistribution Creolink, pour leur diffusion et leur promotion. De quoi sortir des cartes surprenantes, comme il y a un an. En 2021, Afrobit Productions a frappé un grand coup, en sortant six albums de six artistes de son écurie dans le même intervalle. Les visages-phares du label sont Martin’s avec son opus « Once Upon A Time » et Sabrina et son premier album « Love Agenda » sont comptés dans cette vague de créativité, ainsi que Queen Sparks avec « Queen Sparks », Soliverstone avec « 15% », Lil Ramses et son « Feelings » et enfin Dimy Vibz avec « Eden et mélancolie ».
La devise ici à Afrobit Productions, c’est un peu : « Bien...

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