Enseignement : la ruée des vocations

Ça se bouscule pour entrer dans les écoles normales supérieures et d’instituteurs. Pourtant, l’art de faire apprendre des savoirs nouveaux requiert des compétences et dispositions précises.

Devenir enseignant fait certainement partie du top 3 des couloirs sollicités par les jeunes diplômés. Pour preuve, les très courus concours d’entrée dans les écoles normales supérieures (ENS), les écoles normales supérieures de l’enseignement technique (Enset), ainsi que les écoles normales d’instituteurs de l’enseignement technique (Eniet) et les écoles normales d’instituteurs de d’instituteurs de l’enseignement général (Enieg). Ces établissements ouvrent la voie à la carrière d’enseignant. Les candidats à ce secteur d’activités sont nombreux, poussés par plusieurs raisons.
D’abord, la diversité des horizons. Les branches à occuper correspondent principalement aux disciplines dispensées dans les établissements. D’abord, chez les tout-petits de la maternelle et du primaire. A ce niveau, les apprenants formés sont titulaires d’un Certificat d’aptitude pédagogique des instituteurs des écoles maternelles et primaires (Capiemp). Pour eux, il existe des milliers d’établissements publics et privés en quête permanente de leurs compétences pour tenir la main aux tout-petits. Un peu plus exigeantes, les ENS et les Enset sont ouvertes pour les diplômés de baccalauréat au moins. Les disciplines sont aussi variées que les disciplines dispensées dans les lycées et collèges. Pour cela, les professeurs de lycées d’enseignement général (Pleg) ou technique (Plet) acquièrent des compétences liées à la pédagogie et surtout, la manière de gérer une classe et de transmettre des savoirs nouveaux. Selon les spécialistes, les méthodes d’apprentissage ont évolué au fil des années. Désormais, avec le mod&egr...

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