Services sécurisés et dématérialisation des procédures : le Mincom s’y met

Offrir un service sécurisé à l’ensemble des usagers du ministère de la Communication. C’était l’un des sujets abordés hier à la Conférence annuelle des responsables des services centraux, déconcentrés et extérieurs élargie aux organismes sous-tutelle. L’atelier n°1 était donc placé sous le thème : « Création et généralisation des réseaux privés virtuels (VPN) au sein du service public de la communication : Enjeux et contraintes, pour quelle efficacité fonctionnelle ? » Pour parler de cette thématique, Jean Aymar Biyiha Nlend, chef de la cellule informatique au ministère de la Communication a apporté des explications. Selon l’expert, parler de VPN dans le contexte actuel, c’est donner la possibilité aux usagers de se connecter aux différents services offerts à travers une infrastructure sécurisée. Concrètement, il est question de mettre en place les différents services, de générer des interfaces sécurisées pour permettre aux usagers d’y accéder et d’être sûrs qu’ils ne seront pas piratés, hackés, etc. Dans ces explications, Biyiha Nlend relève que pour un début, l’un des services en cours de mise en œuvre, c’est la gestion du courrier. « L’usager a le devoir de suivre son courrier, de connaître l’état d’avancement de celui-ci et de le situer. »  Le Mincom envisage également de mettre en place un système d’accréditations en ligne. D’autres services comme : l’AVI, Agence virtuelle d’information (où les correspondants départementaux, des régions peuvent envoyer des dépêches au niveau central, à travers une plateforme sécurisée), les archives, le fichier national de la communication, l’accès à l’aide publique seront bientôt accessibles via une plateforme sécurisée. 
Dans le deuxième atelier, Chantal Bella Ndzie, inspecteur n° 1 du Mincom, anime les discussions sur l...