Carrousel : l’unité, comme une belle mélodie

Hier au Boulevard du 20 mai à Yaoundé, des fonctionnaires de la police ont invité les Camerounais à œuvrer inlassablement pour la préservation de cet acquis.


Symphonie majestueuse comme seuls les grands évènements savent le mériter. La commémoration de la fête de l’Unité hier au Boulevard du 20 mai, a donné lieu à l’exécution du carrousel dans les deux langues officielles. Une composition orchestrée par une troupe de 70 fonctionnaires de la police camerounaise conduite par le chef de musique, l’officier de police principal, Pierre Célestin Mouliom. En guise d’introduction, l’on a eu droit au tambour d’appel, signe de prise de parole chez les peuples Bantou, afin de captiver l’attention de l’auditoire. « Ô Cameroun terre bénie, nos cœurs, nos corps et nos vies célèbrent ta majesté dans la paix et l’unité », déclamaient ces fonctionnaires, exaltant ainsi l’unité et la paix. Puis, il y a eu la formation de l’étoile, signe d’unification et cette gestuelle chorégraphique du pas de la reine, pour cimenter l’unité et la paix dans les corps, les cœurs et même les esprits des Camerounais.
Outre ces éléments, il y a surtout eu ces mots prononcés pour dénoncer les maux qui minent la société camerounaise : terrorisme, tribalisme, corruption, incivisme, discours haineux. Mais également des voix suaves invitant les Camerounais du...

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