Fonds pour la paix : l’Union africaine appelle à plus d’implication

Parler de paix. C’est l’enjeu principal de la présence de Monique Nsanzabaganwa, vice-présidente de Commission de l'Union africaine (l’UA) dans les murs du ministère de l’Economie, de la Planification et de l’Aménagement du territoire (Minepat) jeudi dernier. La responsable qui était à la tête d’une délégation constituée notamment de Dagmawit Moges, directrice du secrétariat du Fonds pour la paix a été reçue par Alamine Ousmane Mey. L’entretien mené à huis clos s’est déroulé pendant près d’une heure. Ce qui témoigne de la densité des échanges. Au sortir de cette rencontre, Monique Nsanzabaganwa s’est dite satisfaite d’avoir trouvé portes ouvertes et oreilles attentives auprès du Minepat. « Nous avons eu des échanges qui portaient particulièrement sur le Fonds pour la paix, l’un des instruments de notre architecture sur les questions de paix, de sécurité et de bonne gouvernance du continent africain », a-t-elle indiqué.
D’après la vice-présidente de commission de l’UA, l’Afrique a une vision contenue dans l’agenda 2063 qui veut que ses peuples soient unis. « Nous sommes une organisation qui est là pour le peuple africain et qui veut qu'il ait les opportunités qu'il mérite pour son développement inclusif », a-t-elle expliqué. 
En dehors des pouvoirs publics, la vice-présidente de la Commi...