La quatrième édition de ce rendez-vous de l’élégance et de la création a laissé entrevoir un avenir radieux pour le continent.
Il ne s’est pas agi uniquement de strass et de paillettes au K-Walk 2017. On a aussi beaucoup cogité. La question du développement de la mode africaine a également rassemblé les énergies.
Le 29 novembre, les invités spéciaux du K-Walk et les journalistes de mode ont mené la réflexion sur l’identité et la notoriété des créations du continent. Comment les designers africains peuvent-ils se servir de cette projection sur les éléments vestimentaires traditionnels africains pour éclore ?
La dernière actualité sur la reprise des classiques de mode africaine par les grandes maisons de haute couture et de couture (à l’exemple de Stella Mac Cartney qui a revisité le kaba camerounais), peut ainsi se dresser comme un déclic.
Anna Ngann Yonn, créatrice de la marque Kreyann et promotrice du K-Walk, a reconnu que ses copies sont la preuve que l’Afrique inspire. Il ne saurait s’agir d’une récupération d’identité ou d’une concurrence déloyale.
« C’est aux créateurs africains de saisir l’opportunité pour démontrer leur savoir-faire et leur génie », a-t-elle indiqué.
En précisant que c’est cette ambition qui la guide dans le choix des créateurs qu’elle associe à son événement. Pour cette quatrième édition, deux créateurs du luxe africains ont présenté leur travail au public camerounais : Maxhosa d’Afrique du Sud, qui h...
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