Après la phase préparatoire, l’entreprise Razel a entamé les travaux proprement dits sur les différentes voies du projet, à la SCDP, aux quartiers Nsam et Ahala.
Les bruits assourdissants des engins de l’entreprise Razel qui dament le gravier et le béton sur la voie située derrière les Brasseries du Cameroun, une quinzaine d’ouvriers, casques de protection sur la tête et chasubles ont le cœur à l’ouvrage pour aménager cet axe. Un peu plus loin, derrière le marché de Nsam à Yaoundé, les abords du Mfoundi ont été dégagés et laissent place à de grands espaces qui serviront de drains au canal. Le même décor est également perceptible au quartier Ahala, au lieu dit « Deuxième échangeur ». Ici, un grand dalot de sept mètres a été construit, les ouvriers s’activent à retirer les échafaudages.
C’est l’ambiance d’hier sur le chantier d’aménagement du canal du Mfoundi lancé en début janvier dernier, pour une durée de 36 mois. Les travaux qui s’étendent sur une distance de cinq kilomètres rentrent dans le cadre de la deuxième phase du Projet d’assainissement de Yaoundé (PADY II). Si l’on en croit les responsables de Razel, les travaux devraient s’achever au bout de trois ans. Ceci malgré des tensions qui existent entre la direction et les employés. « Nous déplorons le non-respect du cahier de charges des responsables de Razel, notamment les problèmes liés à la ration, au logement et à la prise en charge médicales des employés », confie un ouvrier qui espère que les choses vont changer après le...
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