L’opération «I’m a city changer,» a été lancée le week-end dernier par le Minhdu, Jean Claude Mbwentchou.
Des constructions anarchiques réalisées à Bafoussam au mépris de la loi, le désordre urbain, les commerçants qui exercent leurs activités sur la chaussée, les voies d’accès et/ou les bouches d’incendie, le non-respect des feux de signalisation, les défécations en plein air, les nuisances sonores, les actes de vandalisme sur les réseaux électriques et téléphoniques.
Il s’agit là de quelques cas d’incivisme relevés par le délégué du gouvernement auprès de la Communauté urbaine de Bafoussam, pour démontrer que les bonnes pratiques urbaines ne sont pas encore la chose la mieux partagée dans le chef-lieu de la région de l’Ouest. Au cours du lancement de la 2e édition de la campagne urbaine « I’m a city changer » (J’améliore ma ville en français), le 12 novembre dernier à Bafoussam, Emmanuel Nzeté a engagé les populations à un changement de comportements pour que la ville soit un espace où il fait bon vivre.
En présidant la cérémonie en compagnie du gouverneur de l’Ouest Augustine Awa Fonka, le ministre de l’Habitat et du Développement urbain (Minhdu), Jean Claude Mbwentchou, a précisé que « le Cameroun regorge à peu près 52% d’urbains. Donc, c’est dans les villes que le développement se fait, et les villes produisent 65% du Produit intérieur brut. Il faut intégrer cela au niveau de Bafoussam ». Après Yaoundé en 2014, le choix porté sur Bafoussam par Onu Habitat se justifie par le fait que c’est une ville charnière, aux confins des civilisations.
L’ob...
Cet article complet est réservé aux abonnés
Déjà abonné ? Identifiez-vous >
Accédez en illimité à Cameroon Tribune Digital à partir de 26250 FCFA
Je M'abonne1 minute suffit pour vous abonner à Cameroon Tribune Digital !
- Votre numéro spécial cameroon-tribune en version numérique
- Des encarts
- Des appels d'offres exclusives
- D'avant-première (accès 24h avant la publication)
- Des éditions consultables sur tous supports (smartphone, tablettes, PC)
Commentaires