Fait divers : un homme marié séquestré par des prostituées
- Par Alliance
- 11 sept. 2023 11:59
- 0 Likes
Dans la nuit de jeudi à vendredi, Apollinaire M., 39 ans, a été retenu par trois femmes, qui lui reprochaient un manque de respect chronique.
Apollinaire M., 39 ans, responsable dans une menuiserie, a fini au poste de police de Ndokoti dans la nuit de jeudi à vendredi suite à du tapage nocturne. L’homme bataillait contre trois belles de nuit dans une chambre, où il venait pourtant d’être servi par l’une d’entre elles – payée 4.000 F pour la séance « express ». L’accrochage est survenu par la suite, pour des raisons expliquées à la police.
Il se trouve que la concession familiale d’Apollinaire M. est située dans une zone « colonisée » depuis des années par un marché de la chair. Le coin a d’ailleurs été baptisé « le Couloir du sexe » par des habitués. Et l’intéressé, de chez lui, voit souvent des filles passer pour aller « prester ». Il lui arrive alors de les vilipender, de les traiter de paresseuses ayant choisi la facilité, etc. Des invectives qui lui valent parfois des réponses. Au final, une franche inimitié s’est installée entre l’homme et ces voisines de circonstance. Apollinaire M. va pourtant solliciter l’une d’entre elles jeudi dernier.
Selon des informations obtenues par CT, depuis plusieurs semaines, l’épouse de notre menuisier est de bois côté intime, suite à un accouchement survenu il y a trois mois. L’homme, ayant visiblement atteint ses limites en matière d’abstinence, a résolu d’aller se « chercher » dans le « Couloir » susmentionné. Une des filles va le reconnaître.
Des dépositions faites à la police, il ressort que la fille sollicitée par Apollinaire M., une certaine Augustine, 25 ans, en a discrètement informé deux autres. Le temps que les « renforts » arrivent, elle va s’employer à retenir le client, via des subterfuges que chacun peut imaginer. Puis ses collègues débarquent, et elle leur ouvre. Apollinaire M. se retrouve à trois contre un dans une chambre d’auberge.
Le trio en face lui rappelle alors ses persiflages et outrages continus à l’endroit des prostituées du coin, et lui dit que l’heure est venue de payer pour ce manque de respect. Et, littéralement, les filles lui demandent de payer s’il veut sortir. Montant de la « rançon », 5.000 F. L’homme menace de faire du bruit, les filles lui r&e...
Cet article complet est réservé aux abonnés
Déjà abonné ? Identifiez-vous >
Accédez en illimité à Cameroon Tribune Digital à partir de 26250 FCFA
Je M'abonne1 minute suffit pour vous abonner à Cameroon Tribune Digital !
- Votre numéro spécial cameroon-tribune en version numérique
- Des encarts
- Des appels d'offres exclusives
- D'avant-première (accès 24h avant la publication)
- Des éditions consultables sur tous supports (smartphone, tablettes, PC)
Commentaires