Osiera Mebounou: « J’ai toujours été passionnée par la mode »
- Par Pr. Jacques FAME NDONGO
- 29 juin 2017 11:17
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Ancienne Miss Nations unies du Cameroun et fondatrice de l’agence Mima.
Vous avez été la première Miss Nations unies du Cameroun, aujourd’hui vous avez passé la couronne. Quel a été l’apport de ce sacre?
Cette expérience a été très enrichissante pour moi parce qu’elle m’a propulsée dans le milieu professionnel. Toute jeune, j’ai tout de même dû faire face à certains problèmes, relever de nombreux défis et faire preuve de courage. Il a fallu être à la hauteur de mon titre, ce qui m’a permis de gagner en maturité. Par ailleurs, cette opportunité m’a permis de comprendre la nécessité de donner sa chance à tout le monde, de vivre ses rêves et de réaliser ses objectifs.
En parlant de rêve, vous avez réalisé un des vôtres. Après votre mandat, vous avez mis sur pied une agence de mannequinat…
« Mima » (Meb’s International Models Agency), l’agence de mannequinat, est un projet que j’ai nourri au fil du temps. J’ai toujours été passionnée par la mode en général et le mannequinat en particulier. Sauf que dans ma jeunesse, j’ai été frustrée du fait de mes 1m68 estimés insuffisants pour des mensurations de mannequin. Au final, c’est un peu normal que je sois l’une des plus petites Miss de l’histoire du Cameroun, sinon la plus petite. J’aurai pu passer à côté de ce sacre et c’est l’une des raisons de la création de Mima qui en réalité, vise à donner une chance à tous les passionnés de la mode, parce que pour moi le mannequinat c’est une forme de communication sur le travail de création. Au-delà de cela, « Mima » a un volet social. Nous contribuons à travers nos activités au soutien des couches défavorisées.
Que comptez-vous faire pour la pérennisation de cette initiative?
Etre jeune entrepreneur n’est pas chose aisée. Il y a toujours cette méfiance, cette crainte d’un projet qui naît aujourd’hui pour mourir demain. D’où des défis pour la nécessité de prouver son existence, imposer son projet, prouver sa valeur pour que l’on y adhère. Convaincre les autorités, les partenaires est aussi un réel défi car l’on ne comprend pas toujours qu’il ne s’agit pas d’une activité mais d’un métier. Trouver des financements est également un souci. Autant de défis à surmonter tout en se disant que les débuts n’ont jamais été faciles pour personne et qu’un jour nous finirons par y arriver.
« J’ai toujours été passionnée par la mode »
Osiera Mebounou, ancienne Miss Nations unies du Cameroun et fondatrice de l’agence Mima.
Vous avez été la première Miss Nations unies du Cameroun, aujourd’hui vous avez passé la couronne. Quel a été l’apport de ce sacre?
Cette expérience a été très enrichissante pour moi parce qu’elle m’a propulsée dans le milieu professionnel. Toute jeune, j’ai tout de même dû faire face à certains problèmes, relever de nombreux défis et faire preuve de courage. Il a fallu être à la hauteur de mon titre, ce qui m’a permis de gagner en maturité. Par ailleurs, cette opportunité m’a permis de comprendre la nécessité de donner sa chance à tout le monde, de vivre ses rêves et de réaliser ses objectifs.
En parlant de rêve, vous avez réalis&...
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