Clarisse M. 16 ans, a failli perdre la vie le 25 juin dernier, en essayant d’interrompre clandestinement une grossesse de sept mois
Clarisse M. 16 ans, vient de risquer sa vie et celle de l’enfant qu’elle portait, en pratiquant elle-même, un avortement clandestin. Dans la nuit du 24 au 25 juin, il est 2 h lorsque la voisine, la plus proche du domicile de Clarisse, entend des pleurs. Sachant les adultes de cette maison absents, elle s'y précipite et trouve la jeune fille criant et se tordant de douleur à même le sol. Elle la conduit à l'hôpital régional d'Ebolowa où les professionnels de santé s'en sont immédiatement occupé. Ils extraient un comprimé de son appareil génital. Clarisse explique qu'elle a acheté trois comprimés à 5000 F chez un vendeur ambulant.
Ce dernier lui aurait demandé d’en avaler deux et d'introduire le troisième dans son appareil génital. L'auteur de la grossesse, désigné par l’adolsecente, ne se reconnaît pas dans cette paternité. Il dit s'être toujours « protégé ». ...
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