Marthe Yakan, Sérigraphe.
Comment vous êtes-vous retrouvée dans la sérigraphie ?
J’ai eu cette envie de vouloir faire de la sérigraphie. Je me suis présentée dans cet atelier, j’ai déposé une demande et le patron des lieux a bien voulu l’accepter. Nous sommes alors en 2014. Depuis lors, j’y suis et jusque-là, je m’y sens plutôt bien. C’est vrai que j’ai tout de même dû présenter mon diplôme de qualification professionnelle en infographie, ce qui, je suppose a facilité mon recrutement.
Comment votre famille, et vos amis ont accueilli ce choix ?
A ma grande surprise ils ont été je l’avoue très contents, surtout quand ils ont je ne sais trop comment, appris que beaucoup de femmes se trouvaient déjà dans ce créneau. Ils m’ont vraiment encouragé et je leur en suis reconnaissante jusqu’à ce jour.
Racontez-nous un peu votre première rencontre avec un client homme.
Ce n’était pas du tout évident. Il était un peu ébahi et à la fois très content. Il m’a motivé, dit des mots d’encouragement qui me sont allés droit au cœur et m’ont donné le cœur à l’ouvrage. Je n’oublie évidemment pas ceux qui ont affiché leur réticence, me demandant pourquoi je n’ai pas fait dans le secrétariat in...
Cet article complet est réservé aux abonnés
Déjà abonné ? Identifiez-vous >
Accédez en illimité à Cameroon Tribune Digital à partir de 26250 FCFA
Je M'abonne1 minute suffit pour vous abonner à Cameroon Tribune Digital !
- Votre numéro spécial cameroon-tribune en version numérique
- Des encarts
- Des appels d'offres exclusives
- D'avant-première (accès 24h avant la publication)
- Des éditions consultables sur tous supports (smartphone, tablettes, PC)
Commentaires