Les responsables de l’Unesco, et les acteurs du secteur de l’éducation ont récemment planché sur le sujet à Yaoundé.
Selon Ana Elisa Santana Afonso, directrice du bureau régional multisectoriel de l’UNESCO pour l’Afrique centrale les violences genre en milieu scolaire représentent aujourd’hui l’un des principaux dangers à la scolarisation inclusive et universelle. Touchant principalement les filles, elles expliquent en partie le différentiel entre les filles et les garçons dans l’achèvement du cycle primaire, la transition vers le secondaire et l’achèvement du cycle secondaire. C’est pour remédier à cette situation que les acteurs du secteur de l’éducation et les partenaires œuvrant dans le domaine se sont réunis mercredi 30 août dernier à Yaoundé. C’était dans le cadre de l’atelier de restitution de l’étude diagnostique sur la réponse à la violence de genre en milieu scolaire au Cameroun.
Organisé par l’Unesco en partenariat avec le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères de la France (Meae) et le ministère camerounais des Enseignements secondaires, il a pour objectif de doter les participants des compétences afin qu’ils s’approprient les résultats du diagnostic et s’impliquent aux ajustements nécessaires aux niveaux du cadre politique et stratégique des programmes scolaires, de la réglementation et de la formation des enseignants.
En ouvrant les travaux, Sally Mairiga, secrétaire général de la Commission nationale camerounaise pour l’UNESCO, a révélé qu&rsquo...
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